1 – Les quatre niveaux d’évaluation

Le modèle Kirkpatrick (1967)21 identifie quatre niveaux pour évaluer une formation. 

Quand réaliser l’évaluation ?

Le dispositif d’évaluation doit être pensé dès la conception de la formation. Dans le cadre de la formation professionnelle régie par la certification Qualiopi, il s’agit même d’une obligation réglementaire. L’évaluation peut porter sur une action de formation, sur un parcours ou sur l’ensemble de l’offre de formation d’une structure. Observons les différents temps de conception du dispositif de formation : 

  • Avant la formation, il est essentiel de définir des critères d’évaluation de la formation en fonction de vos différents objectifs pédagogiques (Voir 2.1. Définir des objectifs). De même, il est important de mesurer le niveau de compétence et de connaissance du sujet par les apprenant·es en amont de la formation afin de mesurer une évolution après la formation, à travers un questionnaire ou un entretien par exemple. 
  • Pendant la formation, il est fondamental de valider régulièrement les acquis sous forme de « feedback » et d’observer la dynamique d’apprentissage pour ajuster la progression pédagogique et sa posture. 
  • À la fin de la formation, il est important de mesurer le niveau de satisfaction et la perception de montée en compétences du groupe (Voir Boîte à outils. Outil 6. Répertoire d’activités pour évaluer une formation). 
  • Dans les jours qui suivent la formation, les apprenant·es peuvent être interrogé·es à chaud sur leur niveau de satisfaction et leur perception de montée en compétences. 
  • L’équipe de formation peut également faire un premier bilan pour échanger sur leurs réactions, identifier des pistes d’amélioration de la formation et prendre un temps plus réflexif sur l’expérience d’animation de la formation et ce qu’ils et elles en ont appris. 
  • Plusieurs semaines ou mois après la formation, une deuxième évaluation permet d’aborder les résultats à plus long terme de la formation, notamment l’application des apprentissages dans le travail des participant·es, ce qui correspond au niveau des « comportements » du modèle précédent, et ce que ces changements de pratique ont pu produire sur la structure et ses actions, sur le territoire, comme l’émergence de nouveaux partenariats avec d’autres acteurs du territoire, et sur les publics finaux. Il est possible par exemple de se demander si les publics finaux sont-ils plus satisfaits des actions d’éducation pour la santé proposée par l’apprenant·e. 

Qui solliciter ? 

Toutes les parties prenantes peuvent être sollicitées pour évaluer de manière exhaustive ces quatre niveaux d’apprentissage (réactions, apprentissages, pratiques, effets) :  

  • Les participant·es  
  • Les formateurs, les formatrices et tout·e autre intervenant·e 
  • Les employeurs des participant·es ou d’autres commanditaires de la formation  
  • Les partenaires ou les prestataires techniques et logistiques (structures relais sur un territoire, bailleurs de salles, traiteurs…)  
  • Les financeurs 
  • Les équipes administratives et pédagogiques de l’organisme de formation (référent·es pédagogiques, responsables finances, assistant·es administratif et administratives…)  
  • Une structure d’évaluation externe ou une équipe de recherche universitaire 

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5 – Répertoire d’activités pour coopérer

Quelles activités peuvent être mises en place pour favoriser la coopération et le travail en petits groupes ?

La situation-problème 

Il s’agit de confronter les représentations initiales des apprenant·es à des faits théoriques sur lesquels le groupe peut se pencher en groupes restreints.
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Le guide et l’aveugle 

Par deux, une personne devient le/la guide et l’autre, l’aveugle. L’aveugle se laisse accompagner dans la salle par son/sa guide qui lui pose une main sur l’épaule et lui permet de se déplacer par un code ou à l’aide de mots. Cette activité favorise la confiance au sein du groupe.

Les baguettes en miroir 

Les participant·es tiennent une baguette du bout de l’index et tentent de la faire tenir en marchant de concert dans la salle. Lorsque la baguette tombe, le groupe s’arrête. Il convient de prévoir plusieurs tours.
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Le Pac-Man 

Le groupe coopère en silence pour empêcher le Pac-Man de se rassoir sur une chaise libre.
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4 – Répertoire d’activités pour travailler sur les représentations

Comment observer les représentations du groupe ? Plusieurs activités sont proposées ci-dessous.

Un tableau collectif des représentations autour du thème de la formation 

Les participant·es répondent à une question générique par des mots ou de petits dessins répondant à une question choisie, par exemple : « Que signifie pour vous une alimentation saine et équilibrée ? » Le groupe revient au tableau à la fin de la formation pour comparer les propositions initiales à leurs représentations finales.
Exemple : faire émerger les représentations des apprenant·es sur la santé en utilisant un jeu de photo-expression, noter les mots-clés ressortant des échanges sur un Paperboard en les classant selon les « trois santés » (physique, mentale, sociale), puis présenter la définition de la santé de l’OMS.
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Un débat mouvant 

A partir d’affirmations tranchées, le groupe se positionne en faveur d’une réponse positive sur la gauche et négative sur la droite, par exemple : « Il faut prendre un petit déjeuner », puis le formateur ou la formatrice demande aux participant·es d’argumenter sur leur prise de position sur ce thème.

Dessine-moi un mouton 

Il est demandé aux participant·es de dessiner un élément de la formation pour identifier leurs représentations.
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Un jeu de photo-expression

Le formateur ou la formatrice pose une question autour des représentations, par exemple : « Que signifie la santé mentale pour vous ? »
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Une guirlande collective 

L’affichage des représentations peut être une bonne manière de les voir évoluer et de se les représenter. La guirlande collective permet de prendre plusieurs temps pendant la formation pour amender la guirlande, et la voir évoluer au fil de la formation.
Exemple : faire émerger les représentations des apprenant·es sur la santé autour de la question « Que signifie être en bonne santé mentale ? » et leur demander d’écrire des propositions sur une feuille A4 pliée en deux qui vient alimenter une ficelle courant sur le mur de la salle. La guirlande évoluera au fur et à mesure de la formation, en fonction des découvertes des participant·es.

L’abaque de Regnier 

Les participant·es sont amené·es à donner leur avis sur le thème à l’aide de petits cartons de couleurs.
Télécharger la fiche pédagogique « L’abaque de Regnier »

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3 – Répertoire d’activités pour poser le cadre

Comment construire ou coconstruire les règles du groupe ? Plusieurs activités sont proposées dans cette section, ainsi que des fiches pédagogiques à télécharger.

La tour de KAPLA® 

Les participant·es jouent au jeu de construction en petits groupes, puis font un pas de côté pour définir des règles du bien vivre ensemble, en s’inspirant de ce qui a fonctionné en jouant.
Télécharger la fiche pédagogique « La tour de KAPLA® »

L’expression de nos besoins 

A l’aide d’un jeu de cartes des besoins, les participant·es partagent leurs besoins individuels avec le groupe et coconstruisent ainsi des règles collectives à partir des besoins individuels.
Télécharger la fiche pédagogique « L’expression de nos besoins »

Le mode d’emploi 

Les participant·es expriment une singularité de leur mode de fonctionnement, qu’ils ou elles aimeraient partager avec le groupe.
Télécharger la fiche pédagogique « Le mode d’emploi »

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2 –  Répertoire d’activités de réveil pédagogique (ou energizer)

Comment permettre à un groupe de se dynamiser, de se recentrer ou de réviser rapidement un concept en cours de formation ? Découvrez-le dans cette section !

Objectif 1 : se recentrer

Le passage du son

En cercle, les participant·es font circuler un son avec une grande attention, que ce soit un souffle, un claquement de mains ou de doigts, un son murmuré, chanté… Lorsque le son a suffisamment circulé, une autre personne propose un autre son.

La respiration collective 

Il peut être intéressant de proposer des temps d’arrêt sur image pendant la formation, marqués par un gong ou un signal spécifique (musique, mot…) et de proposer des moments de détente et/ou de respiration collectifs.
Exemple. Lorsque la formatrice sonne dans un gong tibétain, le groupe s’arrête et se lève. Elle propose alors une respiration en mouvement, en levant les bras au ciel lors de l’inspiration et en les baissant à l’expiration.

L’équipe de décoration d’intérieur 

Après avoir réparti le groupe en sous-groupes, le formateur ou la formatrice propose à chaque sous-groupe d’effectuer un aménagement de la salle : décoration, modification d’un espace, retrait d’un objet… En trois minutes, chaque groupe propose un aménagement pour se sentir mieux dans la salle.

Objectif 2 : se redynamiser

Les percussions corporelles 

Reprenant le célèbre jeu du chef d’orchestre, il s’agit de proposer un rythme que tout le monde reprend, puis de laisser d’autres personnes proposer un rythme.

La chaîne de mots associative 

Le groupe se place debout en cercle. Le formateur ou la formatrice fait un geste de son choix comme lever le bras. Le groupe reproduit ce geste. Lorsque son bras est en haut, il ou elle dit un mot de son choix en lien avec le thème de la formation. A chaque fois que ce geste est reproduit, par exemple quand le bras est en haut, chaque personne dit un mot à tour de rôle, de manière spontanée, en lien avec le thème proposé. Cela crée une grande chaîne de mots associative et dynamique !

Les statues 

Proposer aux participant·es de se déplacer dans l’espace en mimant un état d’esprit (ne pas hésiter à faire preuve d’humour, par exemple : en arrivant à la gare deux minutes avant son train, à la fin de journée de formation, le matin avant son café, avant d’aller à un rendez-vous amoureux…) ou en suivant le rythme d’une chanson au choix. Lorsque la chanson s’arrête ou que le formateur ou la formatrice tape dans les mains, le groupe se fige en une photographie collective. Le formateur ou la formatrice peut inviter une partie du groupe à se déplacer pour observer et donner un titre à la photographie. Ce jeu permet de nombreuses variantes : des photographies collectives sur un thème donné, un metteur en scène ou une metteuse en scène qui donne un titre à la prochaine scène…

Le jeu des 7 erreurs 

Placez le groupe en deux rangées, face à face, en s’assurant que chaque personne ait quelqu’un en face d’elle. Proposer de bien observer la personne en face de soi, puis se retourner et de changer quelque chose sur soi. Au top, les binômes se refont face et devinent ce qui a changé sur l’autre personne (lacets défaits, pantalon retroussé, cheveux lâchés…). Faire un deuxième tour en proposant de changer trois choses et, si le groupe est motivé, aller jusqu’à sept modifications, sur le principe du jeu des sept erreurs. Si l’activité est suivie d’une phase de conscientisation, elle est plus engageante que ceux présentés plus haut, car elle permet de rebondir sur la question du changement (par exemple, poser des questions au groupe, puis amener des réflexions du type : on voit plus facilement les grands changements que les petits ; or, en promotion de la santé, nous œuvrons à des changements parfois difficilement visibles ou qui prennent du temps…).

Objectif 3 : réviser un concept

Le jeu des questions 

Après un temps d’apprentissage, constituez des sous-groupes. Proposez-leur de créer deux ou trois questions sur le sujet découvert, qu’ils et elles vont être amené(e)s à poser aux autres sous-groupes. Lorsque les questions sont prêtes, organisez un quiz de révision géant !

La boule de papier 

Les participant·es inscrivent individuellement des mots ou des expressions se référant à des concepts découverts en formation. Les boules de papier sont jetées au centre et chaque personne en choisit une qu’elle explique au groupe.

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1 – Répertoire d’activités brise-glace

Quel brise-glace choisir en fonction de vos objectifs pédagogiques et de vos envies ? Cette section vous donnera une multitude d’idées ! Certaines de ces activités ont été rédigées par les contributeurs et les contributrices du Guide’Up Formation ; d’autres s’inspirent de ressources pédagogiques existantes. En cliquant sur l’icône en forme d’ampoule, vous découvrirez des éclairages pratiques, des conseils, des trucs et astuces…

Objectif 1 : connaître les prénoms des autres personnes du groupe

L’alphabet humain 

Les participant·es se placent en cercle ou en ligne par ordre alphabétique, en fonction de la première lettre de leur prénom. L’activité se termine par un tour oral des prénoms pour vérifier l’ordre alphabétique. D’autres tours de jeu peuvent être proposés afin de favoriser la mémorisation ; par exemple, pour dire à voix haute le prénom de son voisin ou de sa voisine au deuxième tour.
N’hésitez pas à introduire des éléments de jeu. Exemple. « Vous êtes sur une corniche et vous devez vous placer en file indienne le plus rapidement possible par ordre alphabétique en fonction de la première lettre de votre prénom. Attention, il y a des requins tout autour de vous qui vous empêchent de trop vous éloigner ! »

Les ballons-prénoms 

Les participant·es se placent en cercle. Le formateur ou la formatrice lance un ballon à un·e participant·e en disant son prénom. Il ou elle lance à son tour le ballon en nommant une autre personne, et ainsi de suite jusqu’à la dernière personne du groupe. On peut ensuite faire suivre au ballon le chemin en sens inverse, il s’agit alors de se rappeler le prénom de la personne qui nous a envoyé le ballon. N’hésitez pas à proposer des variantes de jeu en fonction du groupe.
Exemple de variante « sportive ». Envoyer le ballon en l’air au centre du cercle, le plus haut possible, en nommant une personne qui va courir pour rattraper le ballon au centre, puis le lance à son tour…
Exemple de variante « créative ». Les personnes se font passer un objet imaginaire en le mimant et en nommant la personne à qui elles le donnent : « Hamza, je te donne une plume. »

Mon prénom et moi

Les participant·es, depuis leur place ou en cercle, se présentent en racontant une anecdote liée à leur prénom ou à leur nom de famille (signification, origine, deuxième prénom, surnom…).Faites attention à la gestion du temps car il peut arriver que certaines personnes racontent des histoires très longues, importantes pour elles quand d’autres, à l’inverse, entretiennent une relation complexe avec leur prénom. Il est donc essentiel de laisser la possibilité de ne rien dire (un « joker ») ou des alternatives moins engageantes : un prénom que j’aime bien, le prénom d’une personne du groupe qui est celui de quelqu’un que je connais, un mot qui rime avec mon prénom ou qui commence par la même lettre…

Le cercle des gestes 

Les participant·es sont placé·es en cercle. Une première personne dit son prénom en l’accompagnant d’un geste. Le groupe répète le prénom et le geste. Une deuxième énonce son prénom avec un geste. Le groupe répète les deux prénoms avec les deux gestes, et ainsi de suite jusqu’à ce que tous les prénoms aient été cités. Adaptez le niveau de difficulté des activités en fonction du groupe. Si le groupe le permet, vous pouvez aller plus loin. S’il est en difficulté, proposez une seconde partie plus facile.
Exemple pour baisser le niveau de difficulté. Le groupe ne répète pas tous les couples prénoms/gestes, mais uniquement celui qui vient d’être énoncé.
Exemple pour augmenter le niveau de difficulté. Une personne répète son prénom et son geste, puis en appelle une autre par son prénom et son geste, qui en appelle une troisième…

Le blason

A l’aide d’un support écrit ou dessiné et d’intitulés, il est proposé aux participant·es de remplir leur blason (une spécialité culinaire, ce qui me fait du bien, mon travail, une valeur importante pour moi…).

Objectif 2 : découvrir des éléments de parcours de chaque participant·e

Trouve quelqu’un qui…

Les participant·es disposent d’une fiche d’enquête Trouve quelqu’un qui : « qui est végétarien·ne » ; « qui fait son pain maison » ; « qui va au travail à vélo » ; « qui s’est déjà perdu·e dans une grande ville »… Le groupe, debout, se déplace librement pour associer un prénom à chaque item. Un même prénom ne peut pas être écrit deux fois sur la fiche d’enquête. Cette activité permet d’adapter les items au public et au thème de la formation.
Lien vers une fiche ressource : https://agir-ese.org/methode/brise-glace-trouve-quelquun-qui

Deux vérités et un mensonge

Les participant·es écrivent chacun·e sur une feuille deux faits réels et un mensonge les concernant. Ils les énoncent à voix haute. Le groupe devine ce qui est réel… et ce qui a été inventé ! La formatrice ou le formateur peut introduire l’activité en écrivant deux mensonges et une vérité la ou le concernant au tableau.
Exemple. J’ai vécu chez les Pygmées, j’ai déjà vu une aurore boréale, je n’ai jamais mangé de sushis.
Grand classique de la formation, cette activité peut cependant prendre beaucoup de temps : elle est à privilégier en petits groupes.

Présentations croisées

Les participant·es reçoivent une fiche d’enquête avec des questions à poser à leur voisin ou à leur voisine. Il ou elle présente ensuite cette personne au groupe. De nombreuses variantes de cette activité peuvent être imaginées, en particulier des approches plus ludiques ou sensorielles.
Exemple. Distribuer un morceau de laine et six Post-it par personne. Les binômes se posent des questions croisées sur leur parcours professionnel passé et à venir (trois réussites passées et trois objectifs à venir). Ils les écrivent sur les Post-it. Ils les attachent au morceau de laine dans l’ordre chronologique. Lors des présentations croisées, chaque personne du binôme tient une extrémité du morceau de laine.

Présentations croisées

Les participant·es reçoivent une fiche d’enquête avec des questions à poser à leur voisin ou à leur voisine. Il ou elle présente ensuite cette personne au groupe. De nombreuses variantes de cette activité peuvent être imaginées, en particulier des approches plus ludiques ou sensorielles.
Exemple. Distribuer un morceau de laine et six Post-it par personne. Les binômes se posent des questions croisées sur leur parcours professionnel passé et à venir (trois réussites passées et trois objectifs à venir). Ils les écrivent sur les Post-it. Ils les attachent au morceau de laine dans l’ordre chronologique. Lors des présentations croisées, chaque personne du binôme tient une extrémité du morceau de laine.

Les avions ou les boulettes de papier 

les participant·es écrivent une anecdote sur une feuille de papier (un souvenir d’enfance en lien avec le thème de la formation, trois choses importantes, une qualité au travail, un souhait pour l’année à venir, ce qu’on aimerait changer dans ses pratiques…). Les participant·es en font des avions en papier ou des boulettes, puis les envoient au centre de la pièce. Chaque personne prend une boulette ou un avion au hasard et retrouve qui en est l’auteur ou l’autrice. Ce brise-glace est à privilégier avec un groupe qui se connaît, sans quoi il convient de modifier la consigne : par exemple, retrouver la personne en se déplaçant dans la salle.

Une petite chose sur soi

Les participant·es se placent en cercle ou restent à leur place. Ils associent à leur présentation « classique » un élément plus personnel.
Exemple. À votre tour, dites votre prénom, votre mission et… une valeur importante pour vous au travail.
Malgré sa simplicité, ce brise-glace amène des tours de présentation engageants, et crée ainsi une cohésion dans le groupe basée sur des choses importantes pour soi. Ces petites choses peuvent varier, et être adaptées à la thématique de la formation : une activité pour se sentir bien, une force, une valeur, un rêve d’enfant, quelque chose qui rend fier ou fière, le goûter de son enfance…

Le jeu mouvant des présentations

Les participant·es se déplacent dans l’espace pour faire connaissance collectivement en fonction des propositions des formateurs et des formatrices.
Exemple. Toutes les personnes qui ont eu entre zéro et vingt minutes de trajet pour venir à la formation se placent ici, entre vingt et quarante minutes, là, et plus de quarante minutes pour venir, là-bas.
Dans une formation professionnelle, est préférable de coupler ce jeu collectif avec une activité dans laquelle chaque personne peut se présenter individuellement.

La carte de France/de la région/de la ville 

Dans une dynamique similaire au « jeu mouvant des présentations », il s’agit d’imaginer une carte de France en indiquant les points cardinaux. Les participant·es se positionnent dans l’espace en fonction de l’endroit d’où ils viennent (lieu de naissance, lieu de vie, lieu où ils étaient le matin même…).

Le classement 

Dans une dynamique similaire à celle de « l’alphabet humain », en ligne ou en cercle, les participant·es se placent en silence ou en n’échangeant qu’avec la personne devant elle, en fonction de la distance parcourue pour se rendre à la formation, de la date d’anniversaire, de l’ancienneté dans leur poste…

Vous êtes plutôt… ?

Les participant·es déambulent dans la salle et, au « top » de la formatrice ou du formateur, s’arrêtent en face de la personne la plus proche d’eux ou d’elles. Le formateur ou la formatrice pose alors des questions pour engager la conversation : vous êtes plutôt… thé ou café ? Chocolat noir ou chocolat au lait ? Chien ou chat ?

Le portrait chinois ou le questionnaire de Proust 

Les participant·es se présentent en s’inspirant du jeu des portraits chinois ou du célèbre questionnaire de Proust. Avec des publics captifs ou en extérieur, il est intéressant de proposer des versions dynamiques de chaque activité. Pour celle-ci, les participant·es, en cercle, se lancent un ballon numéroté de 1 à 10 au marqueur. La formatrice ou le formateur affiche une liste de questions correspondant à chaque numéro, en s’inspirant du portrait chinois ou du questionnaire de Proust. Les participant·es répondent à la question correspondant au numéro situé sous leur index.
Lien vers une fiche ressource : https://agir-ese.org/methode/brise-glace-portrait-chinois

Objectif 3 : découvrir des points communs avec d’autres participant·es

Le domino des points communs 

Une personne ou le formateur/la formatrice se place devant le groupe et annonce une chose qu’elle aime en touchant son épaule droite et autre chose en montrant l’épaule gauche. Lorsqu’une personne du groupe aime la même chose, elle se rapproche de la personne qui vient de s’exprimer du côté de l’épaule concernée et énonce deux choses qu’elle aime (une nouvelle et une en commun avec la précédente), et ainsi de suite jusqu’à constituer un domino des points communs collectif.
Exemple. Moi, j’aime les festivals d’art de la rue et les pâtes à la carbonara. Moi, j’aime aussi les pâtes à la carbonara et faire du ski.
Lien vers une fiche ressource : https://www2.occe.coop/sites/default/files/fichiers-joints/jeux_coop-classeur_2020.pdf (fiche SC04)

Avis de tempête 

Former un cercle avec suffisamment de chaises pour tout le monde excepté le formateur ou la formatrice, qui annonce « Avis de tempête à toutes celles et ceux qui… » suivi d’une de ses caractéristiques physiques ou psychologiques (couleur des yeux, goûts alimentaires, animaux de compagnie…). Les participant·es qui partagent cette caractéristique changent de place. La personne qui n’a pas trouvé de chaise ou ne partage pas cette caractéristique devient celle qui annonce à son tour : « Avis de tempête à toutes celles et ceux qui… »
Exemple. Avis de tempête à toutes celles et ceux qui ont un chat !

La toile d’araignée 

En cercle, une personne fait passer une bobine de ficelle en conservant un bout de la ficelle à la main. Elle annonce en même temps un point commun avec la personne à qui elle tend la ficelle (même domaine d’activité, origine géographique, attente pour la formation, loisir, ville…). La bobine est ainsi passée de main en main jusqu’à former une toile d’araignée. Lorsque la dernière personne a pris la parole, le formateur ou la formatrice invite à observer la toile, puis à refaire le chemin en sens inverse ! Chaque personne retrouve ainsi son point commun avec la personne précédente et lui rend la ficelle.
Cette activité peut uniquement être proposée lorsqu’un groupe commence à se connaître.

Le canot de sauvetage 

Les participant·es se rassemblent dans l’espace en fonction de leurs points communs et selon la consigne proposée par le formateur ou la formatrice, par exemple : « Regroupez-vous avec les personnes qui ont le même animal préféré que vous ».

Le triangle des points communs 

En trinômes, les participant·es écrivent leur prénom au sommet d’un triangle dessiné sur une feuille. Ils écrivent leurs points communs (parcours professionnel, rêves, lieux découverts, savoir-faire, goûts, souhaits…) par deux sur les côtés du triangle, puis ceux du trinôme au centre. L’activité peut être réalisée en grand groupe sous forme de fresque créative des points communs, en permettant aux participant·es d’ajouter des flèches, des schémas et des dessins en couleurs. Il est également possible de faire ce jeu sous forme d’oignon collectif, deux cercles concentriques se faisant face et échangeant des points communs.

Objectif 4 : identifier l’état émotionnel ou l’état d’esprit du groupe

Les participant·es partagent leur humeur sous forme de météo, ou la dessinent sur une feuille sous forme de paysage émotionnel. Lien vers une fiche ressource

Le tour des bonjours 

Les participant·es inventent une façon individuelle, puis collective de se saluer.

À la une / les bonnes nouvelles 

Les participant·es sont invité·es à partager avec le groupe une chose qui les réjouit ou les rend fiers en faisant passer un objet symbolique. Si le groupe se connaît ou travaille régulièrement ensemble, l’équipe de formation peut proposer deux objets à faire passer dans le cercle, l’un symbolisant ce qui réjouit (par exemple, une plume) et l’autre, ce qui préoccupe (par exemple, une petite pierre).

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2 – Organiser la logistique de la formation 

La constitution du groupe

En amont de la formation, il est important de définir le public cible et ses prérequis pour pouvoir suivre la formation. Il peut être intéressant de proposer à plusieurs personnes d’une même structure d’y participer afin de/d’ :

  • Impliquer la direction dans la formation, pour pouvoir notamment atteindre les objectifs de changement de la formation (Voir Etape 1 « Définir les objectifs »)
  • Partager une culture commune
  • Mettre à profit le temps de formation pour entamer des réflexions sur les changements à mettre en œuvre au niveau de leur structure
  • Avoir la capacité de porter ces propositions à la fin de la formation

Les documents à fournir dans le cadre de la formation professionnelle
Dans le cadre d’une formation financée ou labellisée « Qualiopi », le programme et l’attestation de présence doivent être fournis par l’apprenant·e au commanditaire qui fait une demande de prise en charge des frais de formation. Il est également essentiel de signer une convention de formation. Lorsque vous avez établi la liste des apprenant·s :
– Établir avec eux ou leur employeur un contrat ou une convention de formation
– Communiquer le règlement intérieur de l’organisme de formation
– Transmettre une convocation qui reprend des éléments précis tels que l’objet de la convocation, les dates et horaires, le lieu et la durée de la formation. Elle peut aussi contenir les règles à respecter (ponctualité, présence, etc.) et rappeler les coordonnées du contact pour d’éventuelles questions.
– Informer les personnes qui ne sont pas retenues en motivant éventuellement son choix (profil ne correspondant pas aux publics visés ou aux prérequis, mise sur liste d’attente, etc.)

Le lieu de formation

Le choix d’une salle ou d’un lieu adapté assure le confort des participant·es, marque une différence avec leur cadre de travail habituel et facilite la constitution d’un collectif propre à la formation. Ceci est d’autant plus vrai lorsque la formation est organisée sur leur lieu de travail : changez alors la disposition de la salle (aménagement, décoration, visuels…).

Les outils pour passer à la pratique :
OUTIL 7.  Les bonnes questions à se poser sur le lieu de formation
Vous pouvez vous appuyer sur cette check-list téléchargeable pour valider le lieu de formation.

Afin de commencer une formation en toute sérénité, il est conseillé d’arriver en avance et de s’assurer que tout est prêt lorsque les participant·es arrivent. Cela permettra de parer aux imprévus, de tester le matériel, d’organiser l’espace et de soigner l’accueil.

La mallette de formation

La mallette de formation, parfois appelée « valise pédagogique » ou « boîte à outils », désigne l’ensemble du matériel et des documents nécessaires à l’animation d’une formation (Voir : Choisir ses ressources pédagogiques) En plus de votre mallette, n’oubliez pas de faire le point sur les consommables à apporter : cafetière, thermos, bouilloire, paquets de café et de thés, filtres, serviettes, sacs poubelles, vaisselle, sucre…

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1 – Rédiger une proposition pédagogique 

Qu’est-ce qu’une proposition pédagogique ?

La proposition pédagogique, ou « cahier des charges », définit les modalités de réalisation d’une formation. Elle est rédigée à la demande d’un commanditaire.

Dans le cadre de la formation professionnelle
Selon l’AFNOR, le cahier des charges est le « document contractuel fixant les modalités d’exécution d’une action de formation. Ce document contient des éléments administratifs, pédagogiques, financiers et organisationnels pour atteindre des objectifs déterminés » (NF X50-750-1).

En pratique, le cahier des charges inclut le plus souvent ces éléments : 

  1. La présentation de la structure commanditaire
  2. Le contexte du projet de formation : les raisons pour lesquelles la formation est organisée, la problématique à laquelle elle répond, ses objectifs stratégiques
  3. Les objectifs de la formation
  4. Le contenu de la formation : son intitulé, son thème, son programme, une description
  5. Le public cible : son profil professionnel, l’effectif minimum/maximum, les prérequis (ce que les apprenant·es doivent savoir et/ou faire avant la formation)
  6. Les moyens et les contraintes : la durée, les dates et les lieux envisagés, le matériel nécessaire (salle de formation, équipement, accès internet…), le contact pédagogique (par exemple, le ou la responsable pédagogique ou administratif/administrative), le budget
  7. Les modalités pédagogiques : le profil des formateurs et formatrices et l’organisation pédagogique : les méthodes, les techniques et les moyens pédagogiques envisagés (diaporamas, livret de l’apprenant, ouvrages, plateforme en ligne…)
  8. Les modalités d’évaluation : l’évaluation de la satisfaction des parties prenantes, l’évaluation des apprentissages, l’évaluation des changements de pratiques et des effets de la formation (voir Étape 6. Evaluer la formation)
  9. Les modalités financières : les frais pédagogiques (par jour de formation ou par apprenant·e), les frais annexes (location de salle, frais des intervenant·es), les sources de financement possibles

Les outils pour passer à la pratique :
OUTIL 6.  Préparer un cahier des charges

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3 – Intégrer des temps d’inclusion et de déclusion

Il s’agit de deux étapes-clés de la dynamique de groupe :

Durant l’inclusion, les individus se rencontrent, s’observent et apprennent à se connaître pour trouver leur place dans le groupe. Ils passent ainsi petit à petit de la méfiance à une certaine confiance. L’inclusion peut intégrer une ou plusieurs activités de type « brise-glace ». La déclusion est l’activité qui marque l’étape de séparation entre les membres du groupe.

Les formateurs et les formatrices peuvent choisir de ne pas participer aux activités pour se concentrer sur l’animation et la prise en compte de la dynamique du groupe. À l’inverse, leur participation signale l’instauration d’une relation horizontale.

L’inclusion

L’inclusion favorise de bonnes conditions d’apprentissage. Elle a un effet sur la motivation et permet de poursuivre les interactions initiées avec le groupe à l’accueil. Elle permet à chaque personne de :

  • Se sentir reconnue : qui je suis, d’où je viens, quelles sont mes expériences en lien avec le sujet de la formation…
  • Se sentir appartenir à un groupe : trouver des points communs personnels ou professionnels avec les autres (origine géographique, loisirs, compétences, publics, attentes…)
  • Ressentir du plaisir en passant un moment ludique et convivial

Pour le formateur ou la formatrice, l’inclusion sert à mieux connaître le groupe et à identifier ses caractéristiques. Un brise-glace permet d’initier la dynamique du groupe et de révéler d’éventuelles inquiétudes. La déclusion conclut la formation. Elle symbolise la transition entre l’espace-temps de la formation et celui du retour au quotidien. Elle peut s’effectuer par le partage d’un mot individuel de bilan, par un clap collectif de fin…

Le réveil pédagogique (ou energizer)

On distinguera le brise-glace, qui a un objectif d’interconnaissance et de dynamisation du collectif, et les activités de type « réveil pédagogique » qui visent plutôt à se remobiliser en début de journée ou après la pause déjeuner, à réviser les éléments vus précédemment, à éviter l’assoupissement… De même, on distinguera la déclusion des séquences de bilan de fin de formation, qui ont pour objectif d’évaluer la satisfaction ou les apprentissages.
Voir Boîte à outils. Outil 2 : répertoire d’activités de réveil pédagogique (ou energizer).

La formation de formateurs et formatrices
Les enjeux de ces temps seront différents lorsque vous vous adressez à de potentiels formateurs et formatrices. Dans ce cas, les temps d’inclusion et de déclusion serviront à faire expérimenter aux participant·es des techniques qu’ils elles pourront ensuite réutiliser dans leur travail. De même, si le formateur ou la formatrice souhaite que les participant·es puissent réutiliser ces techniques dans leur travail, il est judicieux de choisir des outils ou des techniques adaptées à leurs publics ou en lien avec la thématique de la formation. Il est alors important de bien clarifier ses intentions pédagogiques.

Les outils pour passer à la pratique :
OUTIL 8.  Les bonnes questions à se poser sur l’inclusion et la déclusion

Les bonnes questions à se poser sur… l’inclusion et la déclusion

Je ne propose pas simplement une activité, mais j’ai défini les intentions pédagogiques spécifiques de l’inclusion et de la déclusion.
J’ai défini le temps que prendront ces activités en fonction du nombre de participant·es.
J’ai déjà testé cette technique et je me sens à l’aise pour l’animer.
J’ai prévu des activités qui impliquent progressivement les apprenant·es. Certaine personne ne sont pas familière d’approches émotionnelles, sensorielles ou peuvent rejeter des techniques jugées infantilisantes. 
J’ai conscience du niveau d’interconnaissance et de confiance au sein du groupe au moment d’animer ces séquences. 

 
Notre conseil : Privilégiez des activités peu engageantes initialement si le groupe ne se connait pas, ou si vous percevez des tensions ou des enjeux hiérarchiques. Ainsi, cela n’oblige pas les participant·es à révéler des informations personnelles ou délicates. Proposez toujours une issue (une autre manière de faire, un « joker »). 
Exemple : se présenter à partir d’un objet tiré de son sac ou de sa poche : les participant·es ont le choix de l’objet et sont donc responsables de ce qu’ils souhaitent partager avec le groupe. Cependant, cette activité peut être très impliquante dans certaines situations spécifiques qui ne sont pas toujours possibles à anticiper (par exemple, une participante présente son porte-clé et cela lui rappelle soudain une personne décédée et l’émeut). 

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2 – Permettre des temps informels de qualité

Qu’est-ce qu’un temps informel ?

Les temps informels sont nécessaires pour initier et maintenir une dynamique groupale. On peut considérer qu’ils ont un réel intérêt pédagogique et symbolisent la place qui est laissée au groupe pour exister en autonomie, en dehors de la relation entre le formateur ou la formatrice et les apprenant·es.
Exemple. Pour des raisons variées, des participant·es arrivent en retard le jour de la formation. Il est parfois préférable dans ce cas d’attendre que le groupe soit au complet et de commencer l’inclusion quelques minutes en retard, mais en accueillant individuellement chaque personne, plutôt que de commencer à l’heure en l’absence de certaines personnes. Pensez à la qualité des interactions à venir et prévoyez des marges horaires dans le déroulé pédagogique pour éviter un excès de stress !

Pourquoi proposer des temps informels

Les temps informels facilitent les échanges spontanés et la création de nouveaux liens en entretenant une atmosphère conviviale, propice aux échanges et à l’interconnaissance, et un sentiment d’appartenance. Ensuite, ils facilitent les interactions informelles (rencontres, liens en dehors du cadre de la formation), ce qui favorise l’émergence d’un climat de confiance entre les participant·es. Ils répondent également à des besoins situés en dehors des temps de formation (repos, distraction, rêverie…), ce qui permet de maintenir un niveau d’énergie et d’attention élevés pendant la formation.

Ils permettent enfin de réguler les aléas tels qu’avoir du temps pour échanger en aparté avec un participant qui exprimerait des difficultés ou réguler des tensions ou échanger avec une personne dont le comportement serait inapproprié par rapport au cadre mis en place.

Quand laisser des temps informels ?

Il est essentiel de planifier ces moments dès la conception du déroulé pédagogique, de communiquer dessus avec les participant·es en amont et de questionner régulièrement le groupe pour les adapter.

En début de formation
  • Informer les participant·es à l’avance et en début de formation sur l’organisation des temps informels et les mettre en lien avec le lieu (voir 2.2.1 « Le lieu de formation »).
    Exemple. Présence d’un self sur le lieu d’accueil de la formation ou de plateaux-repas livrés sur place ou d’espaces de restauration à proximité
  • Identifier les espaces : une configuration claire des lieux amène un sentiment de sécurité : l’espace où je laisse mes affaires, de documentation, de pause, dédié au formateur ou à la formatrice…
  • Répondre aux besoins spécifiques du groupe. Par exemple, s’il y a des personnes qui fument, leur indiquer un espace extérieur.
Pendant la formation
  • Respecter les pauses annoncées : un temps d’accueil, une pause en milieu de matinée, une pause méridienne et une pause en milieu d’après-midi. Les temps de pause peuvent aussi être incorporés aux activités en sous-groupes, chaque groupe étant alors responsable de prendre une pause selon ses besoins.
  • Les formateurs et les formatrices peuvent choisir d’être présent·es (ou pas) pendant les temps informels.
Après la formation
  • Partager un moment de convivialité en fin de journée ou en fin de formation.

Notons qu’il est important d’inclure dans le processus d’évaluation (étape 6) les retours des participant·es concernant les temps informels (les points forts et les améliorations possibles).

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